Nous voilà désormais tous à l'arrêt ; les ministres du Logement et du Transport ayant entendu notre appel à l'interdiction de l'activité (sauf situations très exceptionnelles).
Pour faciliter la communication avec vos clients et prospects, la CSD a fait en sorte que les médias relayent cette interdiction : télévisions, radios, sites internet et titres de presse ont largement diffusé l'information (exemples : France Info, France Bleu, Huffingtonpost, Capital, Seloger, etc...)
En parallèle, nous avons obtenu l'assurance d'être éligibles au chômage partiel, avec la prise en compte des heures d'équivalence et les cas possibles d'activité ont été clairement précisés pour tous.
J'insiste sur 2 points :
- Les cas de déménagements possibles sont les urgences sanitaires, sociales, ou de péril. Autrement dit, la fin de bail par exemple n'en fait pas partie malgré ce qu'on peut lire ou entendre via des sources non fiables.
- Pour réaliser ces déménagements d'urgence, encore faut-il être en capacité d'assurer la protection des salariés et clients par le respect des règles sanitaires établies. Ceux qui ont eu la fierté de participer à l'aide aux hôpitaux le savent : ce type de déménagement ne s'improvise pas !
Je sais que, devant l'incertitude, l'angoisse nous empare mais notre force est notre union ! Nous venons de le démontrer et nous ne pouvons qu'en être fiers !
Bien confraternellement,
Thierry Gros
Je consulte la fiche de la CSD "Gestion de crise du Covid19"